Vendredi 19 Mai 2017 à 20H30: Les Cinq sens
Vendredi 19 Mai 2017 à 20H30:
Les Cinq sens
de Joseph Delteil
Lecture intégrale par les comédiens Laurent Ménez, Joël Lokossou, Philippe Languille et Gwenael De Boodt
Une épidémie de peste, une litanie d'exodes de tous les peuples de la terre vers le Pôle nord et les cinq sens mis au supplice d'avoir failli à sauver l'humanité, Les Cinq sens sont le fleuron de l'oeuvre folle et flamboyante de Joseph Delteil (1894-1978)
Aujourd’hui où notre vie littéraire semble traverser une période de basses eaux, où les monologues de dépressifs, les confessions vaines, les semi-plagiats et les petits romans actuels encombrent les rayons de nos librairies, la lecture de Joseph Delteil est une révélation. Enfin un écrivain vivant ! Enfin un style, un royaume, « une petite musique » ! Son œuvre n’est pas un cimetière, ni un désert, mais un jardin somptueux où se cultive des fruits devenus trop rares et dont nous avions parfois oublié le goût...(in Zone Critique, 2015)
Vendredi 19 Mai à 20h30
Durée : environ 5 heures ponctuées de 4 entr'actes
à La Station théâtre, 1 rue de Rennes, La Mézière
Tarif : 10 Euros (compris dans l'abonnement
au choix avec La Quête infinie de l'autre rive)
Accueil public dès 19h30, bar et petite restauration pour adhérents (5 € la saison)
Pré-réservation au 06 41 56 47 01 – lastationtheatre@gmail.com
Les Cinq sens
Lecture comprise dans l'abonnement au choix avec La quête infinie de l'autre rive
Epopée romanesque sensuelle internationale et polyethnique sur fond d'exode pestifuge de Joseph Delteil, lue dans son intégralité jusqu'au petit matin par les comédiens Joël Lokossou, Philippe Languille, Laurent Ménez et Gwenael De Boodt. Production La Station-Théâtre.
Durée : environ 5h
Tout public à partir de 16 ans
Editions Grasset
Gaspard passa devant la Bibliothèque Royale (...) Des monceaux de livres avaient chu sous le porche (…) En quelques mois, les rats avaient bouffé trente siècles d'intelligence (…) Un grand rat démoniaque, assis comme un ministre sur un fauteuil, dévorait en faisant les gros yeux le plus tendre des Lord Byron. Un raton de lait suçotait un Shakespeare de cuir. (J. Delteil)